Plongée dans une atmosphère figée entre nostalgie et mystère, cette Maison dévoile ses pièces comme un théâtre silencieux de vies oubliées. Les papiers peints d’un autre temps, aux motifs répétitifs et les objets poussiéreux racontent une histoire sans voix, où chaque détail semble avoir été laissé là exprès. Les tableaux de portraits abîmés de femmes dénudées, contrastent de manière saisissante avec le reste du décors, ces peintures de beauté et de vulnérabilité semblent raconter des histoires oubliées. Les textures et lumières douces, volontairement mises en scène pour souligner le contraste poignant entre beauté et délabrement, créent une ambiance à la fois mélancolique et intrigante.